15 de abril de 2013

Surmortalité des abeilles : une énigme encore non résolue - 01/04/2011


Pour quelles raisons les abeilles domestiques meurent-elles de façon anormale un peu partout dans le monde depuis quatre à cinq ans ? Dans quelle mesure ce phénomène touche-t-il l’ensemble des pollinisateurs (rappelons qu’aux côtés de l’abeille domestique Apismellifera, on compte en Europe quelque 2.500 espèces d’abeilles sauvages) ? Y-a-t-il une cause majeure de la fragilisation des abeilles ou faut-il rechercher une combinaison plus complexe de différents agresseurs ?
Enquête sur la mortalité des abeilles
Apoidea sur Coriandrum sativum. © Amada44 GNU Free Documentation License, Version 1.2
Ces questions qui mobilisent aujourd’hui de nombreux scientifiques en Europe et aux États-Unis ne trouvent pas encore de réponse satisfaisante. Or, il y a urgence à comprendre pourquoi les abeilles sont malades. En effet, la survie de la grande majorité des plantes à fleurs et la production de plus de 80 % des plantes cultivées dans le monde dépendent étroitement du service de pollinisation rendu par les butineurs. Un déclin prononcé des pollinisateurs pourrait porter de graves atteintes à la production alimentaire mondiale ainsi qu'à la biodiversité.
Ce dossier permet de mieux saisir les principaux aspects d’un débat très sensible. Après un rappel des faits et des principales pistes de recherche, nous étudierons la responsabilité éventuelle des pesticides dans la vulnérabilité des abeilles. Puis nous nous pencherons sur les agentspathogènes, à commencer par un redoutable parasite, l’acarien Varroa destructor. Enfin sera exposée la thèse d’une éventuelle combinaison de facteurs dépressifs pour les abeilles.

Cuando muera la última abeja - INTA

Las abejas melíferas - Apis Mellifera - representan para la sociedad mucho más que miel. Es también polinizador y presta servicios ambientales. Hoy, en los países desarrollados está amenazada su existencia por el ataque del hombre al medio ambiente. Latinoamérica está recorriendo el mismo camino y es imprescindible realizar un esfuerzo en la investigación para dar respuestas sostenibles. Es importante tener en cuenta que un tercio de los cultivos para alimento que se consume en el mundo depende de la polinización por abejas para su producción.